Emmanuel Macron, ministre de l’économie de la République française, on peut dire que c’est un statut qui claque ! Non ? Vous avez raison, peu importe le prestige de cette fonction, nous parlons bien d’Emmanuel Macron.
Vendredi 19 août, notre – mal aimé – ministre de l’économie doit se rendre dans la principauté Vendéenne du Puy du Fou. Selon les différents marchands itinérants reliant la République à cette terre royale, Emmanuel Macron effectue un déplacement pour rencontrer le suzerain de la contrée, le susnommé : Philippe de Villiers. Messire Macron se défend de toute tentative de défection et précise ne pas vouloir rejoindre la Vendée du sud. Cette force de caractère est toute à son honneur car nous nous ne pouvons pas en dire autant de son homologue coréen.
Revenons à cette visite plus qu’étonnante. Cette délégation extraterritoriale n’aurait – toujours selon nos informateurs itinérants – d’autres objectifs que l’établissement de pourparlers pacifique entre ces deux entités politiques. Le castel de Bercy, possession Macronnienne vient confirmer ces dires. Le Puy du fou – domaine mainte fois acclamé pour son faste – accueillerait chaque année deux millions de serfs. Il est donc aisé de comprendre que les multiples boutiquiers se frottent les mains à l’annonce d’une telle rencontre !
Néanmoins, il est important de rester vigilant. Comme le disait une obscure contine : « Attention au loup ». Il est légitime de s’interroger sur les réelles motivations de notre ministre. Quelles sont ses projets ? Ne cherchez pas, je vais vous les compter et ce, gratuitement ! Emmanuel Macron n’a qu’un objectif en venant visiter ce cher Philippe de Villiers, il souhaite s’emparer de l’anneau de Jeanne d’arc, un anneau pour les gouverner tous ! Je crois que c’est ça, non ?
Bon, une fois cette révélation encaissée, revenons à une toute autre réalité. Emmanuel Macron, grand intendant de la république française, faucheur de l’économie et pourfendeur du travail rend visite aux entrepreneurs locaux. Il est évident que c’est pour « hypothétiquement » parler économie et non d’une éventuelle campagne de lutte contre l’obésité qui pourrait s’appeler : « En Marche ».