Le mérite ! Cette notion, fondamentale sur le plan professionnelle, semble échapper à une grande partie des célébrités médiatiques. Aujourd’hui : le népotisme de la famille Castaldi
Vous avez sûrement entendu parler du petit dernier ? Julien Castaldi, à ne pas confondre avec Julien Doré et son illustre ancêtre Gustave, a fait la une des tabloïdes cette semaine. Son crime ? Rejoindre comme chroniqueur l’émission « Mad Mag », tremplin de la très cultureuse série : Les Anges de la Télé Réalité.
Bon, d’accord mais, où est le mal ?
Parlons crûment : de la merde présentée par de la merde ne peux que donner de la merde. Partant de ce postulat, nous ne voyons aucuns problèmes quant à la « nomination » de ce jeune homme de 20 ans car, comme le dit Lydia Pérreal : « On peut être dans la merde jusqu’à cou mais tenir à sa dignité ». Malheureusement, le petit Julien ne semble pas connaître Lydia Pérreal. Dommage pour lui !
« On peut être dans la merde jusqu’à cou mais tenir à sa dignité », Lydia Pérreal
Revenons à nos Castaldi, voulez-vous ? Quel est donc le problème de cette « nomination » ? Nous ne doutons pas du talent inné, qu’il est aisé d’imaginer, possédé par le jeune Julien. Ainsi, à l’instar de la – tristement – célèbre Charlotte Gainsbourg, il est évident qu’il ne désirait pas être « jeté » sous le feu des projecteurs ; coup du sort dirait l’autre ! Néanmoins, le mal est bien présent. Julien Castaldi, 20 ans, devient chroniqueur dans une « émission » de télévision avec pour seul mérite d’être le fils de… Louis Chédid… Non pardon, je voulais dire de Benjamin Castaladi !
Sexe, drogue et népotisme : le mérite familial selon wikipédia
Comprendre la nomination du jeune Julien Castaldi au sein de la chaîne NRJ12 nécessite avant tout de s’attarder sur la question familiale de ce groupe d’individu. Connue et reconnue – tout reste cependant à prouver –, nous vous proposons donc de retracer – gratuitement, quelle chance ! – la généalogie de ce jeune prodige.
Tel un numéro du canard enchaîné en pleine tempête Fillon, le couperet tombe ! L’auguste Julien Castaldi, 20 ans, n’aurait donc que pour seul mérite d’avoir eu la chance de tomber dans le bon utérus ?
Ainsi donc vous l’aurez compris. La « nomination » de ce prodige ne provient aucunement de ses – hypothétiques – compétences mais bien du seul fait d’un népotisme qui, années après années, gangrène les médias français en déversant sur vos écran le « fruit » de mariage bien arrangé.