Depuis quelques menues décennies, un paramètre vient s’ajouter au suspense (ou non) de chaque élection nationale. L’énergumène élu pourrait être une femme (hep vous, je vous ai entendu rire dans le fond, trente pompes)! S’il s’agit d’une femme mariée à un homme, les magazines people (et plein d’autres, en fait…) risquent de ne pas pouvoir décemment étiqueter le bienheureux conjoint de « Première dame ». Ils risquent même d’ignorer injustement ce personnage sous ce prétexte honteux, par pure flemme de créer une dénomination adaptée. Il est donc de notre devoir de citoyens d’agir en conséquence. « Première dame mâle », « Premier loustic », « Lascar consort », n’hésitez-pas à abreuver de propositions tous les journaux de France.